Posts Tagged ‘NHL’

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Le hockey pour les filles: things to do

avril 23, 2009

 

picture-42Sortir le filet de volleyball, le nain de jardin, le parasol, se magasiner un vélo____

Aller  à Christiane Charette faire le postmortem de la saison (LIEN ici)__√__

Acepter l’élimination du Canadien en 4  __√__

Acheter une caisse de rosée ____

Le hockey pour les filles est une chronique pour mon amie Nelly, comme tu dis…rêve brisé __√__

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Le hockey pour les filles: L’échange: sport extrême

mars 4, 2009

C’est la journée.

Après 2 semaines de folles rumeurs: qui est acheteur, qui est vendeur, qui est à louer…

À 15h00, aujourd’hui, je gage que:

La page de RDS va être gelée depuis une heure; trop acchalandée.

Je vais avoir une tendinite pour avoir pesé compulsivement sur le piton refresh.

Il va s’est passé très exactement rien, au pire, Dandenault contre un choix de 4ième ronde, au mieux.

++++

Moi, j’aime le mélange des genres et j’ai un syndrôme d’opposition, alors je vais suivre la journée des échanges sur un  site de foote-ball.

Pour faire comme moi, cliquez zissi

Le hockey pour les filles est une chronique qui a jasé de ça, ce matin, avec Monsieur Miller, pis on pense pas que ça va être plus sportif à Buffalo. Je veux dire… l’an passé, ils ont donné Campbell….

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Le hockey pour les filles: Parfum de femmes en terre d’hommes

février 12, 2009

Voyage dans l’Ouest

J’avais pourtant l’impression qu’on avait fait suffisamment de pas depuis l’époque où nos parentes brûlaient leurs dessous sur la place publique; qu’on pouvait passer à un autre appel.

Et pourtant.

On annonçait cette semaine que l’émission de fin de soirée de RDS allait être animé par des femmes. Bien sûr, bon nombre d’hommes et de femmes appuient l’initiative, même s’il a été souligné que l’événement semble être un peu une façon de s’excuser du peu de temps de micro offert aux dames. Bémol pertinent.

J’ai lu, aussi, les pires horreurs. Ma préférée: les femmes n’ont pas le gène du hockey. Yes ma’hame! Génétique, le hockey, semble t-il. Si ce sport est génétique, pourquoi n’y a t-il pas plus de Frères Staal? Pourquoi Wayne est-il le seul joueur valable de sa lignée? Et une pincée  de hockey dans les chromosomes  XY, rien, dans le XX? Vous êtes sûr que ça ne se transmet pas par frottement?

Alors qu’on célèbre le 200 ième de Darwin, on se demande vraiment si le fait que ce genre d’idée existe toujours n’est pas le signe de l’échec de sa théorie… Sélection naturelle ? Comment ce passéisme est-il encore possible ?
Ou alors il reste toujours sur terre des Néandertaliens avec qui on doit coexister…

Paradoxalement : L’Antichambre est un format show de chaise que je soupçonne avoir été conçu pour plaire à ces…quoi, plus ou moins 40% de femmes qui regardent le hockey sur ce poste en réponse à ces émissions de fin de soirée teintées de testostérone. Format d’émission typiquement destiné aux femmes… et qui est quand même en voie d’extinction.

J’ai écouté, ce soir, l’Antichambre version Ladies.
Paradoxalement : J’ai noté peu de débordements hystériques alors que la situation du Canadien est gravissime. Mais je pense que ce n’est pas tant le fait d’entendre des femmes que d’AUTRES intervenants qui était rafraîchissant. Des individu(e)s capables d’amener un point de vue nouveau dans cette tempête, moi, j’ai aimé. Une lumière dans cette grisaille. Presque fluo.

À entendre tant de commentaires négatifs sur cette incursion des filles en terre des hommes… je sais pas, j’étais drôlement restée sur l’idée qu’on était en 2009. 

 

Le hockey pour les filles est une chronique pour Mimi. Le hockey est une affaire de filles…ce soir, en tout cas.

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Le hockey pour les filles: Le pourquoi des suits rayés.

février 3, 2009

PITTSBURG @ CANADIEN

La question mérite réflection : pourquoi mais pourquoi, le look Dalton version tricolore?

Le Canadien, dimanche, troquait son CH pour revêtir le gilet vintage de l’époque du C.A.C., c’est-à-dire le Club Athlétique Canadien, ancêtre du Club de hockey Canadien, le celui qu’on a la chance de soutenir en cette année du Centenaire et à peu près le même qui s’est fait sortir par Philadelphie le soir de mes 30 ans.
Si l’intention était de rendre hommage à l’ère glorieuse des Glorieux, il a aussi été prouvé hors de tout doute que ce jersey a la faculté de faire paraître encore plus pitoyable les joueurs qui jouent mal. Même les numéros 27, cloués au banc ont l’air choqués mais en moins grave, en plus cute.
Sur le plan hockey, force est d’avouer que les jerseys n’ont pas scoré, mais, sur le plan visuel, ils ont chatouillé ma curiosité. Profitant d’une troisième douteuse, je me suis décidée à faire de la spéléologie sur le World Wide Web à la recherche de l’histoire des Jerseys du Tricolore. Le fruit de mes recherches m’a laissé littéralement pantoise (pour utiliser un mot différent). Une illumination qui frôla la Pentecôte. Ça m’a permis, surtout, de démystifier certaines idées reçues que je trimballais encore.

(Première station, site du CH )

jerseys

J’ai toujours crû, à tord, que le Wild était déguisé en sapin de Noël… Et. Bien. Non. En fait, ils portent une version post-moderne du chandail de 1910-11 avec le rouge, le vert et le feuillage. On change le C pour un W, ajoute des casques verts et on garde le Koivu: tada! On est au Minnesota.

J’ai toujours crû, à tord, que Thom PleK était décalé sur les nouvelles, question vêtements et portait le col roulé 1984 dans un maladroit fashion faux-pas. Et bien non, 10 pieds dans le champs. Car en voyant le Jersey datant de la Première Guerre Mondiale, je…non… il est plutôt comme 90 ans en retard.

Dimanche, donc, dents serrées alors que les 6-7 dernières secondes filaient au cadran, et que l’idée que les Zèbres venaient de perdre les services de Robert Lang pour le reste de la saison germait dans mon hémisphère gauche, j’ai compris, le pourquoi des suits rayés.

Les chandails vintages sont un Plan B, un clin d’oeil historique à ce 100ième sans histoire. À défaut de gagner, on a les suits pour nous consoler…

Et puis, admettez qu’il y a pire que de perdre 3-1 contre Boston, habillé en keloune. Imaginez, se faire blanchir, contre Atlanta, dans celui-là.
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Le hockey pour les filles est une chronique pour Mimi. Le problème des suits rayés, c’est que sur ma TV Sears un peu floue, les Canadiens, quand ils bougent, perdent leurs rayures et deviennent comme mauve unis.

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Le hockey pour les filles: Boston comme entrée à un junk food day

février 1, 2009

AM Boston à Montréal
PM Pittsburg + Arizona
(According to mon journal, BOSTON joue à CANADIEN, aujourd’hui. Ça a fait journée.)

Les filles, souvent, on a recourt à la bouffe pour se consoler. Aussi, on appelle compulsivement nos amies on se claque des tonnes de films de cheerleaders et on s’achète des souliers chers, n’empêche, vous m’accorderez qu’il n’y a rien qui remplace un bucket de crème glacée.

On appelle ça du confort food. Du mangé réconfortant, en français. Personne ne l’avoue trop ouvertement, mais toutes les filles on leur travers : l’une le chocolat, l’autre les biscuits. Avouez.

Bien moi c’est le hockey, qui me console. Problème, aujourd’hui.

Car cette défaite, aujourd’hui, m’achève.
Mal jouer est une chose. Perdre contre Boston, ça va, c’est notre tour. Une mauvaise séquence, même, c’est pardonnable. Mal jouer est légal ; on peut même tolérer Komisarek sur le powerplay. Mais perdre, comme ça, habillé en ridicules suits rayé…c’est comme se faire plaquer habiller en clown ?! Ça laisse une trace.

Si les rouges gagnent, ce soir, ils sauveront l’honneur des rouges sur glace.
Si les Cards gagnent, ce soir, on ne parlera que de la victoire des underdogs et cette journée ne sera plus connue comme celle où le CH s’est fait battre par Boston en suits  pyjamas rayés laids.

Le CH, en perdant, me pousse dans d’autres bras.
Me fait regarder le football et manger de la pizza.


Le hockey pour les filles est une chronique pour mon amie Mimi. Mimi, les films de cheerleaders, je pense que c’est juste nous, ça, je pense.

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Le hockey pour les filles: La vraie saison

janvier 29, 2009

MTL@ Floride

Par Miss Miller

Tous ceux qui sont fluants hockey/français, savent que la vraie saison commence après le Match des Étoiles.

C’est l’adage.

Et puisqu’il faut remplir des pages et des minutes et des émissions et des magazines spécialisés et ô combien de discussions de corridor-5 à 7- machine-à-café avec juste du hockey, on décline souvent l’idée de toute les façons, par tous les clichés. Écoutez, vous allez entendre ces variations sur le thème.

On dira:

C’est le temps de montrer notre caractère.
Tous les points comptent, maintenant ; le classement se ressert.
On lève le jeu d’un cran.
On bataille pour le huitième rang.
On prouve ce qu’on a dans les trippes.
On entre en mode séries, là, c’est sérieux.

(C’est encore le temps d’échanger n’importe qui à une équipe de 14ième rang, surveille tes fesses.)

C’est le moment, paraît-il, où on sépare les hommes des enfants.

Huuum, je regarde la deuxième, là, et je me dis, que si ça continue…

Il va falloir ressortir les couches.

_____Le hockey pour les filles
est une chronique pour mon amie Mimi. Étant donné qu’ils n’ont pas à être tannés de la neige, ils pourraient, je sais pas, se tanner de perdre?

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Le hockey pour les filles: Match des Étoiles (take a walk on the catwalk) 2

janvier 27, 2009

MTL @ Tampa
Par Miss Miller

Je me rallie d’office à l’opinion de la majorité. Pour faire différent.

Car, un peu comme l’ensemble de la population d’Amérique du Nord (plus la diaspora québécoise, moins ceux qui n’en n’ont rien à battre) … Je suis POUR une refonte du système de sélection pour le Match des Étoiles.

Les partisans choisissent leurs élus par amour.
La LNH choisis ses étoiles pour leur potentiel de marketing.
Love VS Money…C’est pas plus la recette d’un soap opéra que d’un alignement partant, ça? (ZZZZZZZ)

Excusez ! Si les meilleurs joueurs de la ligne étaient là, il y aurait des signes comme, je ne sais pas, des gagnants de la Coupe Stanley 08 par exemple ? Oubliez l’idée d’élite de la LNH.

Pour un match plein d’agrément, je propose… 

Des Roux. 

Des jumeaux. 

Des joueurs qui ont des couleurs de lacets peu orthodoxes, des noms qui font plein de points au Scrabble, d’influence kazakh, de préférence, question de rire des prononciations. ll y a SKzhkinthryk qui met en écheeec … (ah non, pas de mise en échec.) J’aurais aussi un faible pour les joueurs capables de se lancer dans le haut de la baie vitrée pour fêter l’après-but, mais ça, ce n’est pas encore inscrit au concours d’habileté, quelle honte.

S’il demeure de l’éclat dans ce Match des Étoiles, toutefois, c’est que certains protagonistes ont compris que le hockey, ce n’est pas que du talent.

Chara se coiffe d’une tuxe à pompon et endosse une cause.
Ovetchkin se déguise en… Canadien? Porte-drapeau?
Mike Komisarek, lui, y va d’un statement politique : son numéro 44 ne souligne t-il pas l’arrivée en poste du 44ième Président des Zu-Es-A ? 

Loin de moi l’idée d’offrir de l’édition 08 une lecture politique  à la Rendez-vous 87, ni de faire de ces joueurs de Sous-Commandant Marcos ou des Che en puissance mais quand même. Quand Kovalev a offert son Gros truck en cadeaux à ses oeuvres, j’ai eu l’émotion du weekend.

Ils sont riches, me direz-vous?

Je vous répond: PIS? 

(All) star Game, on dit. Pas Best-hockey-never-ever Game.

Pendant que Vincent a un accueil de rockstar et que les joueurs défilent sur le tapis rouge, on oublie l’affront au bon goût que représentent les jerseys officiels et se souvient que ce week-end est une marche sur le catwalk. 

Tu-tu-lou-tou-lou-toou-tou-tu-lou…

Le hockey pour les filles est une chronique pour mon amie Mimi. Mimi, je sais, les suits sont laids mais ça laisse aussi voir ce que le hockey a de beau.

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Le hockey pour les filles: Le Canadien a le NUMÉRO 4

janvier 22, 2009

MTL-NEW JERSEY

Par Miss Miller

Si on entend le chiffre 100 cent fois par jour cette année, un autre chiffre commence à illustrer plus fidèlement l’actualité montréalo-sportive: number 4.

 

D’abord, le 4 de Béliveau, légende vivante qui incarne magnifiquement le passé glorieux. Sa présence inspirante aide à subir les innombrabres et soporifiques cérémoniaux d’avant-match.

Ce 4 qui restera assurément au plafond du Centre Bell, au final, pendant que le 4 de Vincent restera avec son Tampa au sous-sol du classement. (Atta, écoutez, on vous donne Dandenault et Higgins et Gorges, une poignée de p’tit-change, une fin de semaine de ski à Tremblant… Quoi, vous l’aimez pas Gorges, il est cool Gorges…Ah oups, il a raccroché.) Quand même, Vincent, il était omni-présent, pour un absent.

En fait le seul 4 qui appartient légitimement au Canadien cette année, c’est…notre position au classement finalement.

Littéralement stationnées au 4 ième étage de l’Association de l’Est, le CH. Gagne, perd, contre Ottawa, Boston, New Jersey : peu importe l’adversaire, on dirait que le CH a un bail au quatrième rang jusqu’au printemps. Pendant que Boston a le penthouse avec vue sur le fleuve, le CH, satisfait, défait ses boîtes, relaxe, sort sa chaise de plage et se tape des pinas coladas au 4ième. Je m’imagine expliquer à un néophyte le système de point de la LNH:  victoire =  2 points, défaite = pas de points et le un point, c’est quand tu perds, tu vois, mais que t’as quand même par-ti-ci-per? Mais c’est bidon, votre système, le Canadien, il bouge jamais au classement. Oui, bon. Quand même.

Le classement est un sofa. Et quand ça sent le confort, ça ne sent pas souvent l’effort. Ces 2 défaites font mal et feront mal tout le long de ce long week end. Pas de victoires pour les effacer. Cette claque sur la gueule est un sacré coup de main.

L’an dernier, on l’avait gagné, ce match, le celui qui précède le Match des Étoiles, j’entend : toute une victoire! Ça se pétait la brettelle sur un moyen temps. Sky’s the limit : les joueurs étaient partis, satisfaits et touts sourires (et nous donc !) passer 4 jours sous le soleil. On célébrait l’accomplissement.

Pourtant. En janvier, il n’y a rien de gagné.

C’est l’adversité qui forme le caractère. Pas la victoire.

Le hockey pour les filles est une chronique pour mon amie Mimi. Mimi, je sais, c’est difficile à expliquer, mais si New Jersey compte des buts, maintenant, c’est parce qu’ils n’ont plus de gardien.

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Le hockey pour les filles: La question rhétorique/the rhetorical question

janvier 17, 2009

MTL-ATTAWA
Par Miss Miller

Is it possible to believe that the retherical question is one of the most popular figure of speech used by hockey players’ interwievers ?

Selon un article jugé peu fiable, en ébauche et/ou en reconstruction par Wikipedia, la question rhétorique est une figure de style «qui consiste à poser une question n’attendant pas de réponse, cette dernière étant généralement évidente, voire incluse.»

Je rajouterais, méthode d’entrevue à l’usage des joueurs de hockey et ou autres protagonistes du milieu, utilisée particulièrement souvent avec les ceux qui parlent anglais.

Ça sonne souvent comme ça :
«Max, you must be very proud…A first goal at your very first game in the NHL. That must be such a great feeling even if your team is not playing perfectly tonight ?
– Yes.
– Alors on a ici Max Pacioretty qui se dit heureux de son but à son tout premier match…»

Non, mon gars, Pacioretty a dit oui. Juste. Oui. Le reste c’est toi, mec, qui le dit.
Tu lui as foutu les mots dans la bouche avec la petite cuillère. Et une bouchée pour maman…Et comme c’est en anglais, question rhétorique se déguise en traduction. N’empêche, c’est une méthode admise et courante qui porte son lot d’avantage.

Primo, comme les hockeyeurs ne sont pas tous loquaces comme Marc Labrèche avec un contenu passionnant comme un Nobel de littérature…poser une question toute faite peut presque passer pour de l’aide humanitaire.

Deuxio, c’est le animateur qui est payé pour parler, hen, et le joueur, lui, est payé pour jouer…chacun son métier. On commencera pas à laisser les joueurs devenir journalistes ou chroniqueurs !

Alors, est-il possible de croire que…
On devrait être capable de gagner contre des équipes de 13 rangs ?
Que, la moyenne de 2,72 de Halak est probablement une erreur statistique?
Que, question défensive et goldtending, ça ne brille pas plus d’un côté que de l’autre de la patinoire?
Est-il possible de croire que, si Plekanec ne compte pas de buts, c’est parce qu’il lance à côté du but et pas dedans?
Est-il possible de croire que avec la liste de blessés qui mesure 6 pieds 4, perdre Mike Komisarek pour une blessure au bras, ça serait plate en pas pour rire ?
Est-il difficile à admettre que ça serait mieux que Max Lapierre ne soit pas notre héros offensif ?

(…)

Besoin de traduction ?

Le hockey pour les filles
est une chronique pour mon amie Mimi. Mimi, est-il possible de penser que perdre ce match-là nous aurait forcé à porter le sac à papier en plus des 3 tuques, 4 foulards et 7 mitaines et 18 bottes qu’on doit mettre depuis qu’on a le même climat qu’à Vladivostok? Je veux dire, ça te défait la mise en plis…

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Le hockey pour les filles: Prozac pour l’amateur de hockey.

janvier 16, 2009

par Miss Miller

Pour oublier que:

Notre premier pointeur a moins de points qu’il est vieux.

Que, according to une bande de clowns à Tampa, on n’aura pas Le Vincent.

Qu’il fait – 6000 sans le facteur vent, sans l’humidité, sans compter que le Boston nous a encore battu.

Que notre gardien a un bilan médical douteux que l’autre a l’air d’un accessoire pour faire des pâtes.

Que ça prend Tendrer pour battre Nashville.

Et qu’il pleut des bombes au phosphe sur Gaza….

La radio Société d’État (95.1 FM à Mourial, 90,7 FM en Rouyn-Norandie) offre aux Canadiens et Canadiennes du prozac pour l’âme: LE SPORTNOGRAPHE. Amateurs et amateuses de sport, écoutez-y cette émission qui se veut une satire du commentaire sportif.

Pour l’occasion, LE HOCKEY POUR LES FILLES prendra occasionnellement la forme d’une chronique radiophonique. Miss miller tasse donc les gars, le temps d’un 5 minutes où le hockey devient affaire de femmes et où on jase entre copines.

Ce soir, Miss Miller vous explique quoi faire pour survivre à votre soirée de hockey si…ben si c’est pas votre truc d’habitude. Genre si vous êtes plus football ou boulingrin, mettons!

LE HOCKEY POUR LES FILLES est une satire où la fille, se moque des filles, parce qu’elle est à la fois accro au hockey et one of the girl!

Cliquez ici pour avoir les informations sur l’émission du SPORTNOGRAPHE avec un T à la radio de RADIO-CANADA

Peut aussi être écouté, en cachette, par les gars…

(J’en profites pour remercier André Doyon photographe, also called Patron,  (têteuse!) qui me permet d’enregustrer su’ les heures ouvrables. C’est une coche en haut de gentil!)

Le hockey pour les filles est une chronique pour mon amie Mimi. Quand je ris des filles, je ris surtout de toi…même si c’est toi, hen qui avait dis finale Détroit-Pittsburg, hen?