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Le hockey pour les filles: Pourquoi les Bruins s’appellent les Bruins et pourquoi ça ne change rien à ma haine profonde envers eux

avril 19, 2009

Dans la Presse, aujourd’hui, page 8 du cahier des sports, Miguel Bujold explique l’histoire des noms des équipes de la LNH.

On y apprend entre autre que les Flames s’appellent les Flames à cause des flammes d’un incendie et que les Ouragans de la Caroline s’appellent les Ouragans à cause des ouragans mais aussi plein d’autres petites histoires croustillantes.

Déjà, vendredi, grâce à l’internet, j’avais appris que Bruins, ça voulait dire ours et bien maintenant, je sais pourquoi les Boston s’appellent ours. Je n’en dis pas plus, question de ne pas brûler le punch comme un preview de film Hollywoodien, arrêtez tout de suite de faire la file pour avoir une crème glacée et courrez acheter La Presse.

Un article fait sur mesure pour le hockey pour les filles. Fini le blabla sur les sorties de zones, les revirements, on tient enfin un vrai sujet de discussion. Pourquoi y a t-il  tant d’équipes avec des noms de petits alimos?  

You just made may day, Miguel. Boston peut nous sortir en 4, il n’y a plus rien qui me dérange. Je touche au divin.

AJOUT 19:30

Extrait: «La guerre de Sécession est également à l’origine de l’appellation des Blue Jackets de Columbus. L’Ohio étant l’État qui a fourni le plus de soldats – que certains nommaient Blue Jackets -, il s’agirait là d’un hymne au patriotisme.»

Note à mon amie Nelly, le blue jacket n’est finalement pas  un clin d’oeil au fait que les Ohiennes sont out et portent encore le coat de jeans à la Samantha Fox. Ça casse un peu le party, mes excuses.

(lien)

Le hockey pour les filles réalise enfin qu’elle aime le hockey presque autant que les petits alimos et que les deux vont de paire. Ma-la-de.

8 commentaires

  1. Le lien pour l’article en ligne : http://www.cyberpresse.ca/sports/hockey/200904/19/01-848122-lhistoire-derriere-les-noms-dequipes.php


  2. @ Étienne:

    Quand Hugo Dumas va se remettre à pleurer la mort du bon vieux journal qui tache les doigts, je vais me souvenir que tu as fait échouer ma seule tentative pour ramener les gens vers cet objet du passé. J’aurai fait mon bout.


  3. Hier soir, comme nos chers commentateurs étaient tannés de nous parler des errements de nos glorieux-pathétiques, ils nous ont plutôt raconté l’histoire de ce jeune joueur des bruins dont la rate a explosé, comme ca, « pouf », en plein meeting de l’équipe.
    Comme moi aussi je m’ennuyais pendant le match j’ai googlé « ablation de la rate » pis je suis tombé sur des pages qui parlent de dopage, d’EPO précisément.
    Un autre lien hockey-animaux : les joueurs sont chargés comme des animaux.


  4. Maintenant j’aimerais bien qu’on m’explique pourquoi « les cataractes de Shawinigan »


  5. Pour le dopage, c’est peut-être le cas pour Ovechkin, Kovalchuk et autres, mais la vigueur avec laquelle jouent les Canadiens prouve sans aucun doute la non-utilisation d’EPO pour la majeure partie de l’équipe!
    Et oui, malheureusement, ce n’est pas le hockey qui fera l’exception en matière de dopage. On pourrait demander à Sergei K. ce qu’il en pense, lui qui par chance a été renvoyé à Hamilton une semaine à peine avant le test de dépistage…!


  6. @ julie
    Le nom « Cataractes » ne fait pas allusion à la cataracte, une maladie des yeux. En réalité, une cataracte est aussi une chute d’un grand cours d’eau sur une hauteur importante. Dans ce cas-ci, ce sont les « Chutes de Shawinigan » qui sont considérées comme cataractes. Une équipe de la Ligue de hockey senior du Québec, les Shawinigan Falls Cataracts (1945-53) et les Shawinigan Cataracts (1954-58), avait évoluée à Shawinigan. Cette dernière a gagnée les éliminatoires de la saison 1954-55. Vive Wikipédia !


  7. L’ours qui s’appelle «brun» est apparemment un personnage fameux d’un conte américain, mais je ne sais absolument pas lequel, je suis nul en folklore, quelqu’un a une idée?


  8. reve brisé √



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